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Les effets bénéfiques des interactions enseignants-étudiants sur la satisfaction, l’intérêt pour la matière ou encore l’engagement sont aujourd’hui bien documentés (voir Kozanitis et Chouinard, 2009). On sait cependant que
Les effets bénéfiques des interactions enseignants-étudiants sur la satisfaction, l’intérêt pour la matière ou encore l’engagement sont aujourd’hui bien documentés (voir [[Kozanitis_Chouinard_2009]]). On sait cependant que
dans les faits, la participation verbale des étudiants est limitée tant au secondaire (Dillon, 1988) que dans le supérieur (Nunn, 1996). Le temps consacré aux interactions est faible, et les interventions sont souvent le fait d’une
dans les faits, la participation verbale des étudiants est limitée tant au secondaire ([[Dillon_1988]]) que dans le supérieur ([[Nunn_1996]]). Le temps consacré aux interactions est faible, et les interventions sont souvent le fait d’une
minorité d’étudiants (Nunn, 1996). Le problème se pose avec encore plus d’acuité en grand groupe, sachant que le taux de participation verbale est inversement proportionnel au nombre d’étudiants (Gibbs et Jenkins, 1992) et
minorité d’étudiants ([[Nunn_1996]]). Le problème se pose avec encore plus d’acuité en grand groupe, sachant que le taux de participation verbale est inversement proportionnel au nombre d’étudiants ([[Gibbs_Jenkins_1992]]) et
que la disposition physique d’un grand auditoire est peu propice aux échanges (Wong, Sommer et Cook, 1992). Dans cette communication, nous rapportons les résultats d’une expérience d’utilisation de Twitter pour
que la disposition physique d’un grand auditoire est peu propice aux échanges (Wong, Sommer et Cook, 1992). Dans cette communication, nous rapportons les résultats d’une expérience d’utilisation de Twitter pour
encourager la participation au sein d’un grand auditoire (300-350 étudiants). Sur base d’un questionnaire et d’une analyse de contenu des tweets produits, nous nous penchons sur le volume et la nature des interactions
encourager la participation au sein d’un grand auditoire (300-350 étudiants). Sur base d’un questionnaire et d’une analyse de contenu des tweets produits, nous nous penchons sur le volume et la nature des interactions

Dernière version du 25 novembre 2014 à 15:05


Utiliser Twitter pour favoriser la participation en grands groupes


1. Références



2. Copies

  • Copie en ligne :
  • Copie physique :


3. Mots-clés



4. Résumé officiel / abstract

Les effets bénéfiques des interactions enseignants-étudiants sur la satisfaction, l’intérêt pour la matière ou encore l’engagement sont aujourd’hui bien documentés (voir Kozanitis_Chouinard_2009). On sait cependant que dans les faits, la participation verbale des étudiants est limitée tant au secondaire (Dillon_1988) que dans le supérieur (Nunn_1996). Le temps consacré aux interactions est faible, et les interventions sont souvent le fait d’une minorité d’étudiants (Nunn_1996). Le problème se pose avec encore plus d’acuité en grand groupe, sachant que le taux de participation verbale est inversement proportionnel au nombre d’étudiants (Gibbs_Jenkins_1992) et que la disposition physique d’un grand auditoire est peu propice aux échanges (Wong, Sommer et Cook, 1992). Dans cette communication, nous rapportons les résultats d’une expérience d’utilisation de Twitter pour encourager la participation au sein d’un grand auditoire (300-350 étudiants). Sur base d’un questionnaire et d’une analyse de contenu des tweets produits, nous nous penchons sur le volume et la nature des interactions générées ainsi que sur les avantages et limites perçus par les étudiants, l’apport principal étant l’impact positif sur le climat de classe. Nous terminons par un certain nombre de recommandations pratiques pour la mise en oeuvre de dispositifs similaires.


5. Résumé personnel (facultatif)


6. Voir aussi