« Romainville 2006 » : différence entre les versions

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== 1. Références ==
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* '''Référence complète APA''' : Romainville, M. (2006), « CHAPITRE 1. Quand la coutume tient lieu de compétence : les pratiques d’évaluation des acquis à l’université », in Nicole Rege Colet et Marc Romainville , La pratique enseignante en mutation à l'université. De Boeck Université « Perspectives en éducation et formation », 2006 p. 185-198.
* '''Référence complète APA''' : Romainville, M. (2006). Quand la coutume tient lieu de compétence : les pratiques d’évaluation des acquis à l’université. Dans Nicole Rege Colet et Marc Romainville (dir.), La pratique enseignante en mutation à l'université. Bruxelles : De Boeck Université, 19-40.


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* [[évaluation]]
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Bien qu’elles occupent une place importante dans l’exercice du métier d’enseignant-chercheur et qu’elles conditionnent, dans une large mesure, l’apprentissage des étudiants, les pratiques d’évaluation dans le supérieur restent assez mal connues. Le présent chapitre vise à lever un coin du voile qui recouvre pudiquement ces pratiques. Pour l’essentiel, il se base sur un rapport que l’auteur a réalisé à la demande du Haut Conseil de l’Évaluation de l’École et dont la version longue et complète est disponible à l’adresse suivante : http: / /cisad.adc.education.fr/hcee.
Plus précisément, ce chapitre est une version courte et remaniée de la deuxième partie de ce rapport, qui en comptait quatre. De manière à situer ce chapitre dans le contexte général de la mission commanditée par le Haut Conseil, un bref aperçu des autres questions abordées par le rapport est présenté ci-dessous.
Le rapport s’ouvre sur une constatation : les connaissances dont on dispose sur les acquis des étudiants sont très lacunaires et fragmentaires. On ne sait, en général, pas trop bien ce que connaissent et ce que savent faire les étudiants à la sortie de leurs études supérieures. Cette ignorance locale, nationale et internationale contrecarre toute tentative d’évaluation des hautes ambitions des formations du supérieur. De manière à comprendre cet état de fait, la deuxième partie, synthétisée dans le présent chapitre, s’interroge sur les pratiques d’évaluation en cours à l’université et cherche à dégager les traits dominants de ces pratiques, dont la grande hétérogénéité et l’absence d’explicitation. La troisième partie dresse un inventaire des effets dommageables des pratiques actuelles d’évaluation, comme la transformation, aux yeux de l’étudiant, de l’examen universitaire en « jeu du chat et de la souris ». La quatrième partie décrit les pistes actuellement explorées pour améliorer ces pratiques, comme les épreuves intégrées et le portfolio [[portfolio d'apprentissage]].


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== 5. Résumé personnel (facultatif) ==
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* Un résumé PPT par [[Nausicaa Noret]] : [[Fichier:Noret_Romainville.pptx]]
* Un résumé PPT par [[Nausicaa Noret]] : [[Fichier:Noret_Romainville.ppt]]

Dernière version du 17 janvier 2013 à 11:20


1. Références

  • Référence complète APA : Romainville, M. (2006). Quand la coutume tient lieu de compétence : les pratiques d’évaluation des acquis à l’université. Dans Nicole Rege Colet et Marc Romainville (dir.), La pratique enseignante en mutation à l'université. Bruxelles : De Boeck Université, 19-40.



2. Copies

  • Copie physique : voir l'ouvrage.


3. Mots-clés


4. Résumé officiel / abstract

Bien qu’elles occupent une place importante dans l’exercice du métier d’enseignant-chercheur et qu’elles conditionnent, dans une large mesure, l’apprentissage des étudiants, les pratiques d’évaluation dans le supérieur restent assez mal connues. Le présent chapitre vise à lever un coin du voile qui recouvre pudiquement ces pratiques. Pour l’essentiel, il se base sur un rapport que l’auteur a réalisé à la demande du Haut Conseil de l’Évaluation de l’École et dont la version longue et complète est disponible à l’adresse suivante : http: / /cisad.adc.education.fr/hcee.

Plus précisément, ce chapitre est une version courte et remaniée de la deuxième partie de ce rapport, qui en comptait quatre. De manière à situer ce chapitre dans le contexte général de la mission commanditée par le Haut Conseil, un bref aperçu des autres questions abordées par le rapport est présenté ci-dessous.

Le rapport s’ouvre sur une constatation : les connaissances dont on dispose sur les acquis des étudiants sont très lacunaires et fragmentaires. On ne sait, en général, pas trop bien ce que connaissent et ce que savent faire les étudiants à la sortie de leurs études supérieures. Cette ignorance locale, nationale et internationale contrecarre toute tentative d’évaluation des hautes ambitions des formations du supérieur. De manière à comprendre cet état de fait, la deuxième partie, synthétisée dans le présent chapitre, s’interroge sur les pratiques d’évaluation en cours à l’université et cherche à dégager les traits dominants de ces pratiques, dont la grande hétérogénéité et l’absence d’explicitation. La troisième partie dresse un inventaire des effets dommageables des pratiques actuelles d’évaluation, comme la transformation, aux yeux de l’étudiant, de l’examen universitaire en « jeu du chat et de la souris ». La quatrième partie décrit les pistes actuellement explorées pour améliorer ces pratiques, comme les épreuves intégrées et le portfolio portfolio d'apprentissage.



5. Résumé personnel (facultatif)