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** questionner la visée (boucle d'autorégulation de niveau 2)
** questionner la visée (boucle d'autorégulation de niveau 2)
** questionner son besoin (boucle d'autorégulation de niveau 3)
** questionner son besoin (boucle d'autorégulation de niveau 3)
Autres apports :
* trois modèles de '''structures relationnelles''' :
** structure de pression : influence s’exerçant principalement de l’intervenant vers l’interlocuteur.
** structure de service : c’est l’interlocuteur qui fixe l’objectif de l’intervention, il appartient à l’intervenant d’agir afin que soit atteinte la visée, la responsabilité du succès reposant sur ses épaules.
** structure de coopération : influence mutuelle de l’intervenant et de l’interlocuteur





Version du 16 décembre 2016 à 18:12


L’interaction professionnelle : efficacité et coopération



1. Références

  • Référence complète APA : St-Arnaud, Y. (1995), L’interaction professionnelle : efficacité et coopération. Montréal : P.U.M. (2e édition 2003)




2. Copies

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3. Mots-clés



4. Quart de couverture


5. Table des matières (facultatif)


6. Résumé personnel (facultatif)

Extraits de F. Gagnon, http://di.uqo.ca/630/1/Gagnon_Frédéric_2013_essai.pdf p. 21+ :

  • S’inspirant d’Argyris et Schön, St-Arnaud (2003) affirme que toute action est intentionnelle.
  • L'intention est composée de trois éléments :
    • le moyen (la stratégie pour atteindre la visée) ;
    • la visée (l’effet observable visé chez l’interlocuteur) ;
    • le besoin de l’intervenant.
  • St-Arnaud (2003) reprend à Argyris et Schön 2003 le concept d'efficacité professionnelle (une action est efficace lorsqu’elle produit l’effet attendu), la déclinant en :
    • efficacité extrinsèque : "aptitude à appliquer adéquatement un ensemble de moyens et techniques propres à une profession"
    • efficacité intrinsèque : "capacité de produire un effet désiré chez son interlocuteur. Plus spécifiquement, on parle d’efficacité intrinsèque lorsque l’effet visé est obtenu immédiatement et sans effet secondaire indésirable. Cette efficaci- té est généralement révélée par un sentiment de satisfaction chez l’intervenant."
  • St-Arnaud (2003) utilise le terme erreur pour désigner la cause d’un écart entre l’effet attendu et l’effet observé à la suite d’une action posée par l’intervenant.
  • Les erreurs menant à l’inefficacité d’un intervenant sont de trois types :
    • erreurs techniques : l'intervenant se trompe dans la stratégie, les moyens
    • erreurs de visée : l'intervenant se trompe d'objectif (caractère irréaliste de l’effet espéré)
    • erreurs d’aspiration : l’intervenant fait passer un besoin personnel avant le reste.
  • St-Arnaud nomme escalade la succession d’au moins trois interventions (une intervention pouvant être une phrase) ne produisant pas l’effet désiré.
  • Pour réguler son action, St-Arnaud suggère de porter une partie de son attention sur les émotions ressenties suite à la mise en application d’un moyen lié à une visée et d’associer une couleur à chacune d’elles : vert dans le cas d’une émotion agréable, rouge pour une émotion déplaisante et jaune pour un vécu mixte.
  • En cas d'intervention inefficace (rouge), l'intervenant doit dans l'ordre, du plus simple au plus profond :
    • questionner la technique (boucle d'autorégulation de niveau 1)
    • questionner la visée (boucle d'autorégulation de niveau 2)
    • questionner son besoin (boucle d'autorégulation de niveau 3)


Autres apports :

  • trois modèles de structures relationnelles :
    • structure de pression : influence s’exerçant principalement de l’intervenant vers l’interlocuteur.
    • structure de service : c’est l’interlocuteur qui fixe l’objectif de l’intervention, il appartient à l’intervenant d’agir afin que soit atteinte la visée, la responsabilité du succès reposant sur ses épaules.
    • structure de coopération : influence mutuelle de l’intervenant et de l’interlocuteur




7. Voir aussi